Course
16.08.11
Voici JP, version détrempée d'un bout à l'autre sur une rare portion sèche. Vive la "grip"!
Le "sommet" de l'arrière-cour Devinci. Pas mal plus proche d'une butte que d'un sommet, la hauteur n'est pas l'élément disctinctif du "Pano". C'est le petit kilomètre qui le sépare de l'usine Devinci qui est parfait.
DRB en route vers une douche froide. Allez, tout le monde y passe!
Chris surprit par la crête! Le seul représentant du +size. Il termine 2e.
Fred Aubut voulait expérimenter la massothérapie d'un cadre rigide en usage automnale. Conclusion: ça brasse!
Mr. Dupressoir, Alias la recrue. Focus, déterminé à tout ravager. Fier représentant du département des ventes et service à la clientèle.
Patrice qui ne travaille pas chez Devinci, mais qui devient le propriétaire des vélos de JP à chaque fin de saison.
Le Movenduro est un format amical. On s'attend à chaque fin de parcourt. Ici on s'assure de bien comprendre la dernière spéciale.
Pont + eau c'est quand même stressant. Pont + eau + neige, c'est une couche de politesse supplémentaire.
Mick Brassard, machiniste chez Devinci. L'un des rares qui a participé à toutes les courses depuis 5 ans.
Pour mettre un peu de piquant, on invite même des champions de rallye automobile. Simon Dubé ici qui reste calme sur les pédales lors du passage du pont enneigé.
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Movenduro
Enduro amical annuel Devinci & cie
Samedi soir : -2C. Il neige à gros flocons sur Chicoutimi, les premiers froids qui s’amènent. Demain, c’est la course avec les collègues et amis, comme à chaque fois depuis quoi… 5 ans déjà?! Toujours en novembre, et chaque fois c’est la même histoire. Il fait « frette », c’est gris, les sentiers sont glissants sur fond de nature morte. Ça serait plus une journée pour rester couché. On s’envoie des textos pour jauger si les autres vont « choker »... Je l’espère presque, même si j’en n’ai pas l’air.
Le lendemain, je me lève tôt, même si c’est dimanche. Au moins jusqu’à maintenant, je me suis forcé pour préparer mes trucs. Rendu là… Pit stop pour un café chaud le temps de me rendre 5 km plus loin aux sentiers de vélo de montagne. Dans le parking, tout le monde est là. Ah non attendez, il en manque un! On se paye sa gueule et ça ajoute presque au plaisir de s’être pointé.
On sait pas trop pourquoi, mais même si la météo est difficile, que la forme n’y est plus et que les vélos se démènent dans la bouette frette, y’a rien de plus trippant qu’une course amicale! Une belle « group ride » de 4 heures, avec des portions chronométrées de façon un peu douteuse d’accord,, mais n’empêche, tous y vont à fond. Y’a du monde de R&D, du marketing, des ventes et du département artistique. Personne ne cherche à se ramasser des KOMs; mais tout le monde a son histoire à raconter.
« Tu te rappelles la fois qu’il avait tombé 5 cm de neige la veille et qu’on a quand même fait notre enduro? » « La fois que l’autre a choké? Mets-en, c’était malade! »
Photos : Charles-David Robitaille